Adaptation musicale basée sur “Verset II” de Rimbaud
(il faut l’imaginer jouée et chantée par un vrai musicien, ce n’est que l’idée)

Chantée par l’IA Suno:
Sunday’s ballet
La terre t’avait constitué
Homme ordinaire
De fruits pendus dans le verger
Qui viennent de ta chair
Le soleil rayonne de fierté
Les fidèles abondent
Mesurer l’immensité que
Sa lumière innonde
La force et le droit mènent la danse
La danse et la voix de l’enfance
Ô aimer, le plaisir ou la force de Psyché?
La terre a de fertiles versants
En princes et en artistes
Mais la race et la descendance
Poussent aux deuils et aux crimes
Le monde votre fortune et votre péril
Le monde votre fortune et votre péril
Mais maint’nant ce labeur comblé
De carences
Toi tes calculs, tes impatiences
Ne sont plus réduits qu’à
La force et le droit de l’indifférence
La force et le droit rances
En l’humanité fraternelle
Et discrète par l’univers, sans images,
La force et le droit réfléchissent
La danse et la voix à présent
Seulement appréciées
Seulement appréciées
La danse et la voix dans le silence
La force et le droit pensent
La lune contemple de là-bas
Dans une dernière danse
Le ballet de soleil/Gaïa
Ballet du dimanche
Que vois-je devant!
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