Tableau impressionniste du début du XXIème siècle.
“Les adeptes du courant impressionniste créent une nouvelle esthétique opposée à l’art académique. Ils font primer la couleur sur le dessin, utilisent des compositions inhabituelles et une touche rapide, et composent généralement directement sur Internet. Certaines de ses déclinaisons pré-bifurcation étaient tournées vers des sujets modernes, ils représentent notamment des paysages industriels, des scènes de la vie politique et des habitudes alimentaires de leur époque.“

Ecolo comme le sac (colorié en vert) d’appui à la machine de production.
Le PS, comme les vaches du Crét__cé qui la redistribuent.
Défi, brillant comme un tube de ventilation, assis sur les dinosaures rouges.
Et le PTB: les sacs de cacao venant directement de Cuba.
L’apathie de la population est les couleurs désaturées. Etc.
Pour pouvoir former le drapeau belge à partir d’éléments de l’image, j’ai remplacé la machine de Torremolinos par une clinche, j’espère qu’on ne m’en tiendra pas rigueur:

Ah, la Belgique…pays du chocolat !
Blanc lapin le suivre 🐇

Je parie qu’il y a déjà des gens qui passent leurs journées à modéliser les abords des voies, comme ça on pourra regarder où on est sans devoir regarder par des “fenêtres”, cette technologie d’arriéré!
Décret sur la réforme de la taxe de mise en circulation
Revenir au noeud β
Revenir au noeud α
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“On assiste en fait à une trumpisation du langage du MR via son président qui, en plus, joue la carte viriliste : tatouages, look décontracté loin de l’éternel costume cravate, sport automobile, football…“
indices fascsime



Hitler aussi était dans une dynamique positive, ça ne justifie rien, sinon que la propagande fonctionne bien.
Hannah Arendt:
“Le mensonge constant n’est pas destiné à ce que les gens croient en un mensonge, mais à s’assurer que plus personne ne croie plus rien.
Un peuple qui ne sait plus distinguer la vérité du mensonge ne sait plus distinguer le bien du mal. Avec un tel peuple, vous faites ce que vous voulez.“
réalisme politique



1) “Les premiers “extrémistes de gauche” étaient des libéraux progressistes”
Le PTB est-il d’extrême-gauche?
2) Selon la définition “spatiale” (relativiste)
NON
3) Selon la définition axiologique (politique)
NON
4) Selon la définition juridique
NON
5) Le cordon sanitaire politique est-il justifié?
NON
6) Le cordon sanitaire médiatique est-il justifié?
NON
7) Conclusion
Le PTB n’est pas d’extrême-gauche.

Une illustration de la dynamique totalitariste au sens de Simone Weil à laquelle conduit la particratie:
On sacrifie la vérité au profit du parti, contraint à croître. Inversion de la fin et des moyens, au détriment du citoyen et de l’intérêt collectif.
“La Belgique dispose également d’une loi permettant de définir l’extrémisme. Il s’agit de l’article 8 de la loi organique des services de renseignement et de sécurité, adoptée le 30 novembre 1998. Cette loi définit l’extrémisme comme “les conceptions ou les visées racistes, xénophobes, anarchistes, nationalistes, autoritaires ou totalitaires, qu’elles soient à caractère politique, idéologique, confessionnel ou philosophique, contraires en théorie ou en pratique aux principes de la démocratie ou des droits de l’homme, au bon fonctionnement des institutions démocratiques ou aux autres fondements de l’état de droit.”
Sur ce dernier point, contrairement au Vlaams Belang qui répond à nouveau aux critères, le politologue estime qu’il est plus compliqué de qualifier le PTB de parti extrémiste. Bien que le PTB affiche des traits caractéristiques de l’extrême gauche selon la science politique, tels que, par exemple, l’anticapitalisme, l’anticonservatisme et l’internationalisme, “il ne remplit pas les critères juridiques définissant l’extrémisme, il n’affiche ni visées racistes, ni nationalistes, ni autoritaires.”
Que ce soit dans ses discours, dans ses actes ou encore dans son programme, “le PTB n’est pas opposé à l’État de droit et n’est pas opposé à la Convention européenne des droits de l’homme”, précise François Debras
Pour Arthur Borriello, politologue à l’Université de Namur, cette comparaison établie par le président du MR est loin d’être inédite. “Ce n’est pas le premier à le faire, à la fois dans la classe politique et y compris dans le discours académique et dans le discours scientifique lui-même, où il y a parfois des formes de mise en équivalence d’extrême droite et d’extrême gauche qui sont faites”, souligne-t-il.
Elle efface leurs énormes différences au profit de ce qui les rassemble.
Selon lui, cette mise en équivalence est problématique dans la mesure où “efface leurs énormes différences au profit de ce qui les rassemble.” En réalité, si les deux bords idéologiques sont bel et bien aux extrémités du spectre politique, ils “défendent des projets politiques qui sont ancrés dans des valeurs, des projets, des traditions qui sont aux antipodes l’une de l’autre et qui donc sont les plus grands adversaires les uns des autres.”
Pour le politologue, “il n’y a pas beaucoup de sens à mettre l’accent sur ce qu’ils auraient en commun, si ce n’est que ça renforce les projets politiques qui visent à les discréditer et à les marginaliser tous les deux et en contrepartie à se mettre soit en valeur comme n’étant ni d’extrême droite ni d’extrême gauche.” Ce discours de mise en équivalence des extrêmes a toujours une fonction politique très claire : “La disqualification de ces mêmes extrêmes et en contrepartie la valorisation de ce qu’on peut appeler le camp de la politique raisonnable et des partis de gouvernement qui va du centre-gauche au centre-droit.” (source ⭎ : RTL)