Plutôt problématique:

Même genre de problème qu’avec le quantitative easing ⭎ : on perd ailleurs (en réduction d’intensité carbone) ce qu’on gagne quelque part (en croissance), ce qui fait que les émissions de CO2 continuent de croître (au niveau global), mais “ça fait de la croissance” locale.
Le PIB, qui comptabilise des flux sans considérer les stocks de l’actif naturel (du capital naturel) n’est qu’un outil archaïque, de l’époque d’un monde qui pouvait raisonnablement être approximé comme infini. Et où ça faisait sens d’avoir un indicateur pour mesurer la “reconstruction”. Ce qui n’est plus le cas : nos hôpitaux et nos écoles sont construites.
On continue à employer un indicateur de flux, aveugle au “stock” de besoins satisfaits, et aveugle aux limites planétaires.