Neuf et la houle

Des insoumis aux injustices
Rétifs à la médiocrité
Et à la corruption humaine
A la violence d’Etat
Résistants à la propagande
Durs au BAU criminel
Dissidents à la bien-pensance
Des insoumis au Capital
Des insoumis aux soumetteurs

(Desseins soumis aux insoumis)

Destins saoûls mis sur dérailleur
Essaim fou mytho libéral
Venin, boue et putrescences
Chemins, nous antiparallèles
Refrains mous gèrent les dividendes
Requins pour le prolétariat
N’éteins l’humain, n’allume la haine
Retiens Chaplin et dignité
Demain jour du feu d’artifices!

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Le nationalisme : crise d’adolescent?
 Suivre le lapin blanc

“Je ne veux pas être empereur.
Ce n’est pas mon business.
Je ne veux gouverner ou conquérir personne.
J’aimerais aider chacun si possible.
Les Hommes vrais, gentils, noirs, blancs
Nous voulons tous nous aider les uns les autres.
Les êtres humains sont comme ça.
On veut vivre parmi le bonheur des autres, pas parmi leur misère.
Nous ne voulons pas se haïr et se mépriser entre nous.
Sur cette terre, il y a de la place pour tout le monde.
Et la bonne terre est riche, et peut pourvoir aux besoins de chacun.
Nous pouvons vivre une vie libre et belle.
Mais nous avons perdu la façon de faire.
La cupidité a empoisonné l’âme des Hommes.
A barricadé le monde avec de haine.
Nous a précipités dans la misère et le bain de sang.
Nous avons développé la vitesse, mais nous nous sommes enfermés.
Les machines qui censée nous donner l’abondance nous laissent dans le manque.
Notre connaissance nous a rendu cyniques.
Notre intelligence, froide et cruelle.
On pense trop et ressentons trop peu.
Plus que de machines, nous avons besoin d’humanité.
Plus que d’intelligence, nous avons besoin de gentillesse et de douceur.
Sans ces qualitéds la vie sera violente.
Et tout sera perdu.
L’avion et la radio nous ont rapproché.
La vraie nature de ces inventions crie pour la bonté des hommes.
Crie pour une fraternité universelle.
Pour notre unité à tous.
Même en ce moment, ma voix atteint des millions de gens à travers le monde.
Des millions d’hommes, de femmes et d’enfants déséspérés.
Victimes d’un système qui fait torturer et emprisonner des gens innocents.
A ceux qui peuvent m’entendre, je dis:
Ne déséspérez pas.
La misère qui nous frappe maintenant n’est que le passage de la cupidité.
L’amertume des hommes qui craignent le progrès humain.
La haine des hommes va passer.
Et les dictateurs meurent.
Et le pouvoir qu’ils ont pris au peuple
Retournera au peuple.
Aussi longtemps que des gens mourront
La liberté ne périra jamais.”
Charlie Chaplin
Dans la dernière scène ^⭎ du film “le dictateur”